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Le CMDC a travaillé en collaboration avec Ehab Zalok et Edward G. Sherwood de l'Université Carleton.

À l’appui de l’innovation par le biais de partenariats de recherche

Des travaux ont été menés sur les projets suivants :

Résistance au feu de la maçonnerie

Résumé du projet :

Les matériaux de maçonnerie ont été largement utilisés au cours du siècle dernier en tant que barrière efficace contre la propagation du feu dans les bâtiments. Les objectifs de ce projet de recherche sont les suivants : développer la prochaine génération de normes visant la résistance au feu de la maçonnerie, améliorer la conception et la construction d’assemblages de maçonnerie résistants au feu, optimiser la fabrication d’éléments de maçonnerie pour la résistance au feu et faciliter une évaluation rigoureuse d’assemblages de maçonnerie endommagés par le feu après un sinistre.

Une série d’essais expérimentaux sera menée sur la performance au feu de murs de maçonnerie non porteurs (cloisons) de taille normale et d’assemblages à petite échelle afin de quantifier les effets d’une variété de paramètres sur le transfert de chaleur et de masse, l’endurance au feu, le comportement mécanique et la résistance résiduelle de blocs de béton et d’assemblages de maçonnerie typiques et de prototypes.

Articles récents du NAMC :

Pope H. and Zalok E. (2019, June). “The Effect of Fire Temperatures on the Mechanical Performance of Concrete Masonry Materials.” In P.B. Dillon & F.S. Fonseca (Eds.), Proceedings of the Thirteenth North American Masonry Conference. Paper presented at the 13th North American Masonry Conference, Salt Lake City, Utah (pp. 252–264). Longmont, CO: The Masonry Society.

Calcul de mus de contreventement

Résumé du projet :

Contrairement à la rupture en flexion, la rupture en cisaillement dans la maçonnerie s’avère très soudainement. La rupture en cisaillement d’un mur de contreventement se produit sans avertissement et en absorbant peu d’énergie. En outre, ce type de rupture est moins prévisibles que la rupture en flexion en raison de mécanismes de rupture beaucoup plus complexes. Alors que des dispositions précises en matière de calcul de la résistance en flexion ont été basées sur l’hypothèse rationnelle que les sections planes restent planes, les procédures du calcul de la résistance au cisaillement se sont traditionnellement appuyées sur des équations empiriques très restrictives. Ainsi, la recherche se poursuit sur des procédures pour le calcul de la résistance au cisaillement aussi précises que les procédures de flexion, basées sur des hypothèses tout aussi rationnelles.

Articles de revues scientifiques sélectionnés :

Sarhat, Salah, and Edward Sherwood. « Shear strength of GFRP-reinforced concrete masonry beams. » In Masonry 2018. ASTM International, 2018.

Sarhat, Salah R., and Edward G. Sherwood. « Does the size effect exist in reinforced masonry?. » ACI Special Publication 328 (2018): 5-1.

Thèses et PHQ sélectionnés :

Résistance à la compression de la maçonnerie en blocs de béton

Résumé du projet :

La prévision précise de la résistance à la compression de la maçonnerie est très importante pour la conception des structures en maçonnerie car elle constitue souvent la base des calculs. Cependant, il n’est pas toujours simple de déterminer la résistance à la compression de la maçonnerie. En effet, chaque matériau (blocs de maçonnerie en béton creux, mortier et coulis, le cas échéant) possède des propriétés différentes et réagit d’une manière non linéaire différente lorsqu’il est soumis à la compression.

Les normes de calcul pour la maçonnerie prévoient généralement deux méthodes pour déterminer la résistance à la compression : l’essai du prisme de maçonnerie ou la résistance des éléments. La première méthode, l’essai de prismes de maçonnerie, consiste à construire trois à cinq prismes de maçonnerie avec des matériaux représentatifs du site, à tester les prismes sous une charge de compression et à corriger la résistance moyenne à la compression déterminée à partir des essais par un facteur qui tient compte du rapport entre la hauteur et l’épaisseur des prismes mis à l’essai. Cette méthode présente certaines limites pratiques, y compris la complexité du transport des échantillons ainsi que la capacité et de la taille limité des machines d’essai disponibles. En outre, il existe des désaccords sur les valeurs des facteurs de correction de la hauteur par rapport à l’épaisseur, car chaque code international fournit des valeurs différentes. La seconde méthode, connue sous le nom de méthode de résistance des éléments, consiste à mettre à l’essai des échantillons individuels de matériaux de maçonnerie. Dans cette approche, la résistance à la compression de la maçonnerie est estimée soit par une équation, soit par des valeurs tabulées basées sur la résistance des blocs, le type ou la résistance du mortier et la résistance du coulis, le cas échéant.